Loup-Noir

on the road

Mardi 14 juin 2011 à 9:46

Les femmes sont si belles. Je les compare aux joyaux de la Terre. Puis-je m'en passer ? Et vous-mêmes ? Ah ! Sursaut d'orgueil qui vient à point nommé. Aurais-je besoin de toi ? Certes non. Mais tu le sais, tu le lis sur le sourire que porte mes lèvres, dans une complicité intime tu comprends et moi de même que oui j'ai besoin de toi… et toi de moi.
Les femmes sont si belles. Ce sont des déesses qui portent couronnes de majesté. Nulle vénération, encore que… mais une femme fait de ces choses, est de ces êtres pour lesquels l'infini ne nous parait jamais trop loin et où l'impossible n'est que vaine chimère. Autant le dire, les femmes nous stimulent jusqu'à ce que nous devenions invulnérables. Quel bonheur d'être si puissante…
Jee la regarde droit dans les yeux, je peux la comprendre, l'infiltrer, être proche… et si distant. Croit-elle que je l'évite ? Pense-t-elle… croit-elle aux obstacles ? Sans aucun doute. Moi pas. Je vis dans un monde où volonté règne. Une absolue maîtrise au bout du chemin. Désolé chérie, je ne dépendrai pas de toi, le contraire ne serait pas favorable à ma survie. Mais je serais toujours là et je donnerais ma vie pour toi.
Les femmes… on a envie de leur offrir le monde, notre monde, le meilleur de nous.

P.S: je ne la connaissais pas avant...autant dire que pour elle je ferais tout...

Mardi 14 juin 2011 à 9:42

La voiture s'était arrétée, la dispute faisait rage entre le couple installé à l'avant de la voiture. Des histoires relationelles, rien de bien grave. Pourtant c'était la dernière fois qu'ils se parlaient. C'est ce que l'on appelle une mort stupide. Il était arrive devant, les mains dans les poches et l'air tout à fait normal. Ils l'avaient vu passer à côté de la voiture sans trop y porter attention. Vite relégué au statut de souvenir, il eut l'occasion d'agresser le mâle, d'attacher la femelle, de les mettre face à face et de les torturer avec plaisir.
Je me souviens d'une autre histoire. C'était dans une maison abandonnée, loin de tout, je la nomme le viol à la machette. Décidément l'homme n'est pas à court d'idées quand il s'agit de perpétrer crimes et forfaits. En vérité, l'homme a une place de choix au panthéon de l'horreur, je vous le jure. Et ces ténèbres, où se cachent-elles ? On doit pouvoir admettre qu'elles sont cachées en chacun de nous, la place la plus certaine pour passer inaperçue. Dans tes entrailles sommeille un monstre…
Il est temps, le gouffre est là, devant moi. Je jette un regard sur les profondeurs insondables, si obscures… Je dois y aller. Je dois plonger. Je ne réalise pas encore la probable peur qui m'assaillera. Mais puis-je reculer ? C'est ma route. Je ne doutes pas de la réussite. Suite à cela, ce sera moi votre ténèbre. Attendez encore Ténèbreux ! La joute finale n'est pas encore arrivée.

Mardi 14 juin 2011 à 9:41

Le vent du nord soufflait, la neige s'engouffrait dans les moindres interstices, effaçant et dissimulant les dernières traces de l'existence du royaume des Rois. Tout semblait encore si réel tandis que nous apercevions les cendres de celui qui avait gardé le signe durant toutes ces années, rejoignant l'Etoile. Le dernier gardien était mort, nous n'avions aucune idée de la quantité de savoirs qu'il emportait dans l'au-delà. Pourtant aucun d'entre nous n'ignoraient que celles-ci n'assuraient pas la qualité du sanctuaire. La vérité on l'avait toujours connue, elle était gravée en nous comme une empreinte que nulle tempête ne peut supprimer. Honneur, fidélité, justice, liberté… et quelques secrets des arcanes. Hyperborée disparaissait, elle n'était plus de ce monde. Et nous, qu'étions-nous pour lui ? Des ombres. De celles que l'on ne connaît pas, que l'on ne soupçonne pas mais qui sont là, éternellement là. Quelle épopée ! Peut-on encore vivre normalement après ça ? Après avoir rendu les ultimes honneurs au dernier seigneur des terres gelées, flamme immortelle du Règne Saint ? Peut-on s'assoupir et ne plus rêver ? Que sommes-nous sinon ceux qui t'attendent encore, préparant ton retour, le retour du Roi ? Un Roi qui ne désirera pas trôner. Peut-être est-il déjà là. Mais avant l'avénement d'un Roi, ne devrions-nous pas attendre le Prince ? Au fait, qui est nous ? Je ne sais pas. En tout cas, ce n'est pas moi. Obscur non ?

Vendredi 10 juin 2011 à 18:41

Me voilà revenu au point de départ. Je ne peux m'empêcher de penser à toi. Je me demande si elle va bien, si elle sourit, si elle se marre. Je l'imagines pleurer et se remémorer le passé. Je l'imagines souffrir en silence et ça me pèse. Ce silence me pèse. Il y a des silences qui valent tous les mots. Mais ces mots ne sont pas joyeux. Et quand je regarde en elle, quand je me rends compte des dégats, je pleure. Je pleure parce que je l'aime cete petite et que je ne supportes pas de la voir comme ça. Je ne supportes pas de la voir souffrir. Je souffre en elle mais tous ça n'est qu'un début. Souffrir c'est comprendre. Je la comprends et c'est parce que je la comprends que je sais que tout va changer. Tout va changer. Elle n'est pas la première personne que j'essaye d'aider. Mais avec elle il y a un détail qui importe. Je mourais dans ses bras. Je la sauverai quoi qu'il m'en coûte. Je ne la sauve pas pour moi. Ce n'est pas par égoïsme que ma volonté s'arme pour elle. Ce n'est pas pour satisfaire mon bien-être. C'est pour elle que je le fais. On dit que l'amour donne des ailes mais mes ailes je les arracherai pour elle. Même s'il me faut aller par vents et fumées pour elle, affronter tel ou tel démon, je n'hésiterai ps. Il n'est pas dans mon habitude de me lier autant à quelqu'un. Mais la règle c'est la règle, donne-lui ta vie ou meurt dans la honte m'avait-on dit. Alors je lui donne ma vie, je lui confie mon coeur, je lui confie tout ce dont j'ai envie. C'est comme si elle c'était moi et que l'on ne pouvait être l'un sans l'autre. Le bonheur de l'un influe sur le bonheur de l'autre, le malheur c'est tout comme. Mais quand l'un va mal, l'autre doit aller bien. Appuyer sa moitié par tous les moyens, lui prouver que tout est possible, que l'espoir a sa raison d'être et que la mort se retire devant nous. Unis nous sommes tout, désunis nous ne sommes plus rien. Ecoute le chant des étoiles mon aimée, il n'est pas là pour te brusquer. Regarde le monde avec des yeux neufs. Ecoute l'univers, il n'est pas là pour te faire perdre espoir. Et si tout est gris comme dans tes pires cauchemars, je te prendrais la main et te chuchoterai: "aie confiance, car je t'aime et serai toujours près de toi". Les tempêtes ne durent jamais, il faut savoir résister et quand l'on se sent trop seul, regarde le ciel, regarde l'infini, il est aussi profond que l'amour que je te porte. Tu ne seras plus jamais seule car mon amour est là pour te veiller dans les pires moments tandis que lorsque le calme se fera jour, je m'amuserais à te faire survoler la terre, la tête dans les nuages, pour t'emmener toujours plus loin, toujours plus haut vers la félicité et la joie. SI un danger te consume, nous ferons front commun, si un danger me consume je t'épargnerai ce chafrin. J'aimerais tant te faire oublier, te faire comprendre que si je t'aime c'est que tu es quelqu'un d'extraordinaire. L'amour que je te porte est proportionnel à ta propre valeur. Mon amour, tu es si belle...je te vénères, je te désires, e ne veux que toi, seulement toi et encore toi. J'ai beau t'appeler par tous les noms, Amor conserve cette simplicité, cette pureté que tu recherches tant. Je t'aime Amor. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Rien ne peut me séparer de toi. Je suis tien pour toujours. Je t'aime.

Mardi 31 mai 2011 à 18:15

Ce que je m'apprête à dire n'est pas simple. Pourquoi ? Je dirais dans un premier temps que ces paroles ont un sens profond et qu'elles sont trop souvent divulguées au gré du vent sans crainte des conséquences qu'elles peuvent entraîner ou plutôt par mépris de celles-ci. Dans un second temps, ces paroles ont valeur de pacte, sont jurés devant le seigneur et elles sont signées de mon sang. Ensuite ces paroles sont destinées à quelqu'un, elles seront lues par elle. Elle en est habituée...jusqu'à un certain point car mon dévouement a dépassé les bornes de ce que les mots peuvent confier à l'âme. A l'heure où j'écris, mon esprit entend un bruissement d'ailes. Un ailé tourne autour de moi...Je sens le poids de mes paroles, j'en suis conscient, je les ressent au plus profond de moi, elles me déchirent de l'intérieur pour faire de moi quelqu'un de neuf, de meilleur, de plus complet car j'ai trouvé quelqu'un, cette personne à qui ce texte est destiné. Oui, j'ai trouvé quelqu'un, pas n'importe qui non, une partie de moi et j'aurai beau vouloir me défaire d'elle que je n'y arriverai pas. Elle ou moi, grâce à elle je reste en vie, sans elle je meurs. C'est un lien qui ne s'efface pas, qui ne se détruit pas, un lien que l'on pourait qualifier d'éternel. Et je m'y connais en éternité. Elle m'a nourri tout au long du temps qui est par nature immortel, celui d'ailleurs. Oh mon amour, je sais que tu lis ces lignes et j'aimerais dire que cet amour c'est une explosion de lumières fétée par les étoiles elle-même. J'ai la fierté d'avoir le Soleil et la Lune comme parents et une déesse comme amante. Cela ressemble à un rêve...et les rêves, quoique j'y est peu accès, n'en demeure pas moins l'une de nos terres de voyage. Il y a de cela fort longtemps, j'avais aperçu une boule de feu géante, sorte de lumière étrange qui m'enveloppait de ses bras. Pourtant cette lumière qui n'était ni lunaire ni solaire était son intime que je me sentais être possédé par elle, ou plutôt devrais-je dire que je fusionnais avec elle. Sorte de rite d'union cosmique improbable et extraordinaire digne des récits héroïques. Elle avait l'allure du feu princier, royal, la noblesse transpirait d'elle comme une fontaine, celle de jouvence. Cette lumière si étrange qui m'avait accueilli en son sein, et bien je m'en souviens maintenant, c'était elle. Les contours de son visage étaient gravés dans les architectures célestes. Que dire en sachant qu'elle est là, qu'elle respire chaque mot, qu'elle imagine avec émotion ce qui peut m'étreindre en tout instant, assoifée de savoir jusqu'où mon amour peut aller. Et bien Amour, mon amour n'a pas de limites, je t'aime sans concession. J'aime comme le loup qui aime sa femelle, qui n'en choisit qu'une pour toujours, et c'est après tout chose naturelle pour ceux qui gardent l'éternité. Je n'ai rien d'autre à dire. Celui qui viendra calomnier ces paroles mérite la mort. Celui qui ne croit pas, je l'envoi dans la brume mais il ne comprendra rien de plus et se perdra une nouvelle fois. Celui qui verra, je le saluerai comme un frère. C'était les paroles d'un amoureux qui préfère sa propre souffrance à celle de l'autre. Les paroles d'un amoureux...mes parole pour toi Amour, mon Aurore chérie. Je t'aime.

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