Loup-Noir

on the road

Lundi 25 juillet 2011 à 17:19

Il y a comme un souffle de majesté et de mystère qui souffle dans la musique, un petit quelque chose qui murmure des paroles étrangères à ce monde que l'on nomme force et puissance. Un soupçon de fantastique dans des mélodies qui jouent un drôle d'air. Un vent artistique qui veut transmettre un certain message. Contrairement à l'étoile Polaris de Lovecraft qui a tout oublié hormis qu'il y avait un message à transmettre, l'art qui cristallise ces pensées n'oublie rien de ce monde, un monde qui pourrait bien être une caricature et que Monsieur Art No cherche à dévoiler. Monsieur invoque des muses et tel un chef d'orchestre leur ordonne de se jouer de nous jusqu'à ce que l'on puisse entrevoir une certaine vérité. Les muses portant les couleurs de l'artiste posent la question de la véracité des choses. Sommes-nous prêt à remettre en cause l'évidence, n'y a-t-il qu'un seul visage à la réalité ou est-elle comme Janus, double, autre. Les tambours s'accèlèrent dans un cirque qui s'emploie à inaugurer un spectacle fort intrigant. Invité à aller au-delà et à briser les chaînes de la modernité, à se jouer d'illusions trop grandes pour être détruites, le spectacle est réservé à ceux qui n'ont pas peur, ou bien au contraire qui ont peur d'eux-mêmes et de ce qu'ils sont devenus, comme si un certain virus avait infecté l'être pour un paraître. Dans sa quête onirique, Monsieur Art No nous fait découvrir ses réflexions de ce monde et nous invite à être plus critique quant à celui-ci, tout est-il vraiment normal ? Tout va-t-il au mieux ? Monsieur Art No nous tend un miroir et nous dit: regarde, cela ne te choque-t-il pas ? Tu es là pour nous rappeler certains plaisirs de la vie que l'on a tendance à oublier, tu nous fait voir à travers tes oeuvres que les rodeurs des rêves sont toujours là. Merci.

Vendredi 1er juillet 2011 à 15:19

C'est un peu une célébration que de venir écrire en ces lieux. C'est ici qu'elle m'a trouvée. Dire que je l'aime est bien trop peu. La vérité, seule elle la connaît, seule elle peut lire en mon coeur et y voir ce qu'il s'y cache. Il s'en est passé des choses ici, alors pourquoi ne pas continuer à écrire pour elle comme elle me l'avait demandé autrefois ? Alors je continue, car écrire pour elle, c'est toujours un acte qui me charme et qui me transporte. Nos deux êtres se sont mélés, nos deux vies se sont liées, nos coeurs battants au même rythme. Dire que je l'aime est bien trop peu, je me dois d'être plus clair dans mes sentiments, dans la vision que je ressens au plus profond de moi. Et puis j'aime lui faire des surprises, j'aime la surprendre et lui montrer toujours un peu plus l'amour que je lui porte. Pour une fois, ce sera un poème, car peu de mots s'ils sont de valeur, sont meilleurs que trop.


One Forever

Sa voix est telle la lumière
Auréolée de toute beauté
Délice de mon coeur argenté
Ma femme

De l'amour une rose a fleurie
Jamais ne se fane l'étoilée
A l'éternel elle resplendit
Mon amour

Le sang qui coule en moi est à toi
Mon corps et mon âme sont tes droits
J'appartiens à la belle aurore
Ma reine

En moi demeure un peu de toi
Ma vie t'est confiée à tout jamais
Unis que nous sommes pour toujours
One forever
 

Vendredi 10 juin 2011 à 18:41

Me voilà revenu au point de départ. Je ne peux m'empêcher de penser à toi. Je me demande si elle va bien, si elle sourit, si elle se marre. Je l'imagines pleurer et se remémorer le passé. Je l'imagines souffrir en silence et ça me pèse. Ce silence me pèse. Il y a des silences qui valent tous les mots. Mais ces mots ne sont pas joyeux. Et quand je regarde en elle, quand je me rends compte des dégats, je pleure. Je pleure parce que je l'aime cete petite et que je ne supportes pas de la voir comme ça. Je ne supportes pas de la voir souffrir. Je souffre en elle mais tous ça n'est qu'un début. Souffrir c'est comprendre. Je la comprends et c'est parce que je la comprends que je sais que tout va changer. Tout va changer. Elle n'est pas la première personne que j'essaye d'aider. Mais avec elle il y a un détail qui importe. Je mourais dans ses bras. Je la sauverai quoi qu'il m'en coûte. Je ne la sauve pas pour moi. Ce n'est pas par égoïsme que ma volonté s'arme pour elle. Ce n'est pas pour satisfaire mon bien-être. C'est pour elle que je le fais. On dit que l'amour donne des ailes mais mes ailes je les arracherai pour elle. Même s'il me faut aller par vents et fumées pour elle, affronter tel ou tel démon, je n'hésiterai ps. Il n'est pas dans mon habitude de me lier autant à quelqu'un. Mais la règle c'est la règle, donne-lui ta vie ou meurt dans la honte m'avait-on dit. Alors je lui donne ma vie, je lui confie mon coeur, je lui confie tout ce dont j'ai envie. C'est comme si elle c'était moi et que l'on ne pouvait être l'un sans l'autre. Le bonheur de l'un influe sur le bonheur de l'autre, le malheur c'est tout comme. Mais quand l'un va mal, l'autre doit aller bien. Appuyer sa moitié par tous les moyens, lui prouver que tout est possible, que l'espoir a sa raison d'être et que la mort se retire devant nous. Unis nous sommes tout, désunis nous ne sommes plus rien. Ecoute le chant des étoiles mon aimée, il n'est pas là pour te brusquer. Regarde le monde avec des yeux neufs. Ecoute l'univers, il n'est pas là pour te faire perdre espoir. Et si tout est gris comme dans tes pires cauchemars, je te prendrais la main et te chuchoterai: "aie confiance, car je t'aime et serai toujours près de toi". Les tempêtes ne durent jamais, il faut savoir résister et quand l'on se sent trop seul, regarde le ciel, regarde l'infini, il est aussi profond que l'amour que je te porte. Tu ne seras plus jamais seule car mon amour est là pour te veiller dans les pires moments tandis que lorsque le calme se fera jour, je m'amuserais à te faire survoler la terre, la tête dans les nuages, pour t'emmener toujours plus loin, toujours plus haut vers la félicité et la joie. SI un danger te consume, nous ferons front commun, si un danger me consume je t'épargnerai ce chafrin. J'aimerais tant te faire oublier, te faire comprendre que si je t'aime c'est que tu es quelqu'un d'extraordinaire. L'amour que je te porte est proportionnel à ta propre valeur. Mon amour, tu es si belle...je te vénères, je te désires, e ne veux que toi, seulement toi et encore toi. J'ai beau t'appeler par tous les noms, Amor conserve cette simplicité, cette pureté que tu recherches tant. Je t'aime Amor. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Rien ne peut me séparer de toi. Je suis tien pour toujours. Je t'aime.

Mardi 31 mai 2011 à 18:15

Ce que je m'apprête à dire n'est pas simple. Pourquoi ? Je dirais dans un premier temps que ces paroles ont un sens profond et qu'elles sont trop souvent divulguées au gré du vent sans crainte des conséquences qu'elles peuvent entraîner ou plutôt par mépris de celles-ci. Dans un second temps, ces paroles ont valeur de pacte, sont jurés devant le seigneur et elles sont signées de mon sang. Ensuite ces paroles sont destinées à quelqu'un, elles seront lues par elle. Elle en est habituée...jusqu'à un certain point car mon dévouement a dépassé les bornes de ce que les mots peuvent confier à l'âme. A l'heure où j'écris, mon esprit entend un bruissement d'ailes. Un ailé tourne autour de moi...Je sens le poids de mes paroles, j'en suis conscient, je les ressent au plus profond de moi, elles me déchirent de l'intérieur pour faire de moi quelqu'un de neuf, de meilleur, de plus complet car j'ai trouvé quelqu'un, cette personne à qui ce texte est destiné. Oui, j'ai trouvé quelqu'un, pas n'importe qui non, une partie de moi et j'aurai beau vouloir me défaire d'elle que je n'y arriverai pas. Elle ou moi, grâce à elle je reste en vie, sans elle je meurs. C'est un lien qui ne s'efface pas, qui ne se détruit pas, un lien que l'on pourait qualifier d'éternel. Et je m'y connais en éternité. Elle m'a nourri tout au long du temps qui est par nature immortel, celui d'ailleurs. Oh mon amour, je sais que tu lis ces lignes et j'aimerais dire que cet amour c'est une explosion de lumières fétée par les étoiles elle-même. J'ai la fierté d'avoir le Soleil et la Lune comme parents et une déesse comme amante. Cela ressemble à un rêve...et les rêves, quoique j'y est peu accès, n'en demeure pas moins l'une de nos terres de voyage. Il y a de cela fort longtemps, j'avais aperçu une boule de feu géante, sorte de lumière étrange qui m'enveloppait de ses bras. Pourtant cette lumière qui n'était ni lunaire ni solaire était son intime que je me sentais être possédé par elle, ou plutôt devrais-je dire que je fusionnais avec elle. Sorte de rite d'union cosmique improbable et extraordinaire digne des récits héroïques. Elle avait l'allure du feu princier, royal, la noblesse transpirait d'elle comme une fontaine, celle de jouvence. Cette lumière si étrange qui m'avait accueilli en son sein, et bien je m'en souviens maintenant, c'était elle. Les contours de son visage étaient gravés dans les architectures célestes. Que dire en sachant qu'elle est là, qu'elle respire chaque mot, qu'elle imagine avec émotion ce qui peut m'étreindre en tout instant, assoifée de savoir jusqu'où mon amour peut aller. Et bien Amour, mon amour n'a pas de limites, je t'aime sans concession. J'aime comme le loup qui aime sa femelle, qui n'en choisit qu'une pour toujours, et c'est après tout chose naturelle pour ceux qui gardent l'éternité. Je n'ai rien d'autre à dire. Celui qui viendra calomnier ces paroles mérite la mort. Celui qui ne croit pas, je l'envoi dans la brume mais il ne comprendra rien de plus et se perdra une nouvelle fois. Celui qui verra, je le saluerai comme un frère. C'était les paroles d'un amoureux qui préfère sa propre souffrance à celle de l'autre. Les paroles d'un amoureux...mes parole pour toi Amour, mon Aurore chérie. Je t'aime.

Lundi 9 mai 2011 à 18:29

Fille de l'aurore,
Pour toi semble-t-il j'ai pris le passeur d'or,
Ce qui est au fond de toi je l'entraperçois,
Et cela ne cesse de me mettre aux abois.

Je respire et éternise cette brise qui déferle,
Elle scintille étrangement, telle une digne perle,
J'ignore comment mais son âme est une merveille,
Et si je me dis occupé c'est que je la veille.

Du haut de son trône, elle est si lointaine,
Je ne peux la voir dans aucune fontaine,
Depuis l'ombre elle m'a abordé

J'aimerais en savoir plus sur sa destinée,
Elle pourrait s'appeler reine, le soleil de ma peine,
Comme une lumière entrant sur la scène.

Pour une certaine romantique...

<< Page précédente | 1 | 2 | Page suivante >>

Créer un podcast